Page:Marguerites françaises.djvu/31

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batre cest infini nombre de regrets qui m’assaillent pour vostre absence.

Puis qu’il faut que je me separe de vos yeux, au moins qu’il me soit permis de croire, que vous n’avez point à desdain que je m’advoue vostre, tel que l’honneur m’a formé, pour vous servir à jamais.

Jamais ame ne quitta par force un bel object avec plus d’angoisse, que je vous ay laissée.

L’absence d’un grand bien, est la presence d’un grand mal.