Page:Marguerites françaises.djvu/33

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qu’en apparence.

M’abandonner lors que vostre compagnie m’estoit plus chere, ce ne sont pas des preuves d’une veritable amitié.

Il n’y eut pas un de tous ceux qui la virent partir, qui ne contribuast des larmes pour le regret de son absence.

Comme vostre presence me tenoit lieu de lumiere, et de vie : ainsi vostre absence me couvre de tenebres, et me cause mille morts douloureuses.

Voy Adieux.