Page:Marguerites françaises.djvu/345

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douleur de sa mort.

La mort frappant à la porte de sa vie, son esprit se sousleve, et leve ses divines aisles, pour prendre son vol vers sa patrie.

Le trespas ne nous sert que de planche pour passer à l’Eternité des bien heureux.

Nous sommes comme la fueille d’Automne, ores pendue en l’arbre, et tantost couchée par terre.

Nostre vie attachée à un foible filet, pend au bord de nos levres.