Page:Marguerites françaises.djvu/451

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que j’emporte de l’esperance que j’ay de vous revoir bien tost, je croirois que la nef de ma vie aborderoit plustost au rivage de la mort, qu’aux terres ou je pretens.

Si vous bastissez sur ce sable mouvant, je porteray un regret eternel, que vostre fidelité pipée n’ait eu pour reciproque qu’un masque soustenu d’inconstance et de desloyauté.

Religion et Devotion.

Les saintes flammes d’un amour divin, ont con-