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Je n’ay point desir de vaincre, où je ne combats point.
On ne peut vous vaincre, non plus par le bien dire, que par le bien faire.
C’est un beau trophee, que de se vaincre soy-mesme, et pardonner plustost que de se venger.
Aux autres choses, la fortune a quelque part, mais aux victoires la fortune est toute au vainqueur.
C’est une belle chose de sçavoir estre vaincu, ou la victoire est pernicieuse.
La vengeance qu’on peut prendre d’un homme, est de