Page:Marguerites françaises.djvu/565

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la lyre d’Orphee se laissoient trainer apres ses doux accents.

Vos beaux yeux ainsi comme deux soleils rebouchent par les esclairs des rayons de leur lumiere, la clarté de ceux qui proches d’une telle divinité, semblent paistre leur veue d’une si douce nourriture.

Elle tiroit les cœurs par ses yeux, à tous ceux qui estoient là presens.

Ma vie languissante ne peut avoir un moment agreable, sinon ceux ausquels j’ay quelquefois cest heur d’estre