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Page:Mariéton - Hellas, 1889.djvu/24

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PELLÉKA


Du haut de Pelléka, comme un tranchant vermeil,
L’île Phéacienne apparut au soleil,
Océan d’oliviers, entre la mer sauvage
Et le lac de saphir dont l’opposé rivage
Tend la coupe immobile au rivage Albanais…
Et là-bas, sous la brise où je m’imaginais
Flotter, vaste, ondulait la terre bienheureuse !
Un petit pâtre grec, la bouche douloureuse,