qui me plaît en moi, ce que j’adore en vous, ô mon métier, c’est bien cet appel au cœur, à l’enthousiasme, la plus haute image de moi-même qu’on m’ait appris à rêver…
Vous n’êtes pas mûr pour la démission. (Avec chaleur.) Vous serez un soldat non moins que vos frères. Vous servirez magnifiquement votre pays… et peut-être aurez-vous un jour à lui donner votre vie…
Comme vous trouvez ce qu’il faut dire ! …
Je vous aime beaucoup, mon petit Jean.
Peut-être n’avais-je pas assez souffert… J’ai compris seulement aujourd’hui la vérité de ce que vous disiez… Devant la guerre, depuis la guerre, on ne peut plus vivre comme on vivait autrefois. Oh ! nos carrières, nos passions, nos activités de jadis… enfantillage, étourderie, distractions misérables… le condamné qui joue aux cartes, qui fume et boit jusqu’à l’aube, avec ses gardiens ! Je veux préparer l’évasion. Comme