sante… ou tout simplement un cri de douleur… Toujours le piaffement convenu de la « gloire » la stérile : « Ô morts, je vous envie » et jamais un élan dévoué, une ardeur efficace… Ah ! combats pour combats… Ils furent nos défenseurs, changeons les rôles… À nous de porter les armes, à nous de mourir pour eux… Vous irez peut-être encore sur le champ de bataille, ô soldats de l’Europe, mais ce sera en passant sur nos corps étendus…
Ça, n’y comptez pas trop, lady Mabel. La paix, ce n’est pas l’affaire de tout le monde, comme la vôtre. Chacun a son métier, ses habitudes, on y revient comme devant… Il n’y a pas une marotte qui ne l’emportera dans l’effort réel et quotidien.
Vous vous heurterez à l’indifférence générale.
L’indifférence à cela ?
C’est parce que j’en suis persuadé que