Page:Marie de France - Poésies, éd. Roquefort, I, 1820.djvu/14

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à le publier, en me promettant de m’éclairer de vos conseils. Si cet ouvrage obtient le succès qu’il me semble mériter, j’en serai d’autant plus glorieux que je vous en devrai une partie. Au surplus, et je ne m’en défends pas, j’ai cherché à prévenir les savants en ma faveur en leur apprenant que vous m’honorez de votre estime et de votre amitié.

Je suis avec reconnaissance,
Monsieur et savant ami,
Votre tout affectionné
B. de Roquefort.