Page:Marivaux - Œuvres complètes, édition Duviquet, 1825, tome 2.djvu/187

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HORTENSE

Toujours aussi impertinent qu’il est aimable. Je te quitte.

MARTON

Monsieur l’impertinent, vous avez beau faire, vous deviendrez charmant sur ma parole, je l’ai entrepris.