Je ne sais tout ce que cela signifie ; mais je la trouve charmante, et je serai ravie d’être avec elle : nous ne nous quitterons donc point ?
Votre union dépend de vous ; gardez toujours cette qualité dont elle porte le nom, et vous serez toujours ensemble.
, s’en allant à elle.
Oh ! vraiment ! nous serons donc inséparables.
Adieu, je vous laisse ; mais je ne vous abandonne point.
Votre retraite m’afflige. Que sais-je ce qui peut m’arriver ici où je ne connais personne ?
N’y craignez rien, vous dis-je ; c’est moi qui vous y protège. Adieu.
Scène III
FÉLICIE, LA MODESTIE
Sur ce pied-là, soyons donc en repos, et parcourons ces lieux. Voilà un canton qui me paraît bien riant ; ma chère compagne, allons-y ; voyons ce que c’est.
Non, j’y entends du bruit ; tournons plutôt de l’autre côté ; je le crois plus sûr pour vous.