Page:Marivaux - Œuvres complètes, édition Duviquet, 1825, tome 3.djvu/472

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Mon cœur, à son tour, lui chanta,
Tout ci, tout ça,
Une chanson qui fut si tendre,
Que cent fois elle soupira,
Tout ci, tout ça,
Du plaisir qu’elle eut de m’entendre ;
Ma chanson tant recommença,
Tout ci, tout ça,
Tant qu’enfin la voix me manqua.