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Page:Marivaux - Œuvres complètes, édition Duviquet, 1825, tome 4.djvu/172

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ARMIDAS

,après l’entrée des quatre porte-balles.

Je vous avoue, Monsieur, que je n’ai point encore entendu de symphonie de ce goût-là.

PLUTUS

Ce qu’il y a de commode, c’est que cela se chante à livre ouvert.

ARLEQUIN

Voilà ma chanson, à moi, et je déloge.

PLUTUS

Allez porter toutes ces musiques-là chez Monsieur Armidas. Hé bien, Mademoiselle, qu’en dites-vous ?

APOLLON

Ces airs-là sont-ils aussi de votre goût, Mademoiselle ?

ARMIDAS

Elle serait bien difficile.

APOLLON

Vous ne dites rien. Ah ! je ne vois que trop ce que ce silence m’annonce. Qui vous aurait cru de ce caractère, ingrate que vous êtes !

PLUTUS

Ah ! ah ! tu te fâches ?