Page:Marivaux - Œuvres complètes, édition Duviquet, 1825, tome 7.djvu/237

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retraite que Mme Dorfrainville venait de me donner ; il ne me restait donc que ma mère à qui je pouvais avoir recours. Une des amies de Mme Dorfrainville, femme âgée, allait faire un voyage à Paris ; je crus devoir profiter de sa compagnie, et partir avec elle ; ce que je fis en effet, quinze jours ou trois semaines après ma sortie de chez Mme Dursan, qui m’avait envoyé ce qui m’était dû de ma pension, et dont le fils continuait d’être malade, et pour qui je ne pus que laisser une lettre, que Mme Dorfrainville elle-même me promit de lui faire tenir.

Onzième partie