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Page:Marmette - Heroisme et Trahison - 1880.djvu/37

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sœurs ne craignissent point d’affronter aussi les balles pour panser de nobles blessures, et arrêter l’effusion du plus pur sang de la patrie ![1]


  1. Nous avons cru devoir reproduire à la fin de ce volume, le mémoire de Mlle de Verchères, que nous citons textuellement pour ne lui rien ôter de sa couleur.