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Page:Marot - Les Œuvres, t. 3, éd. Guiffrey, 1881.djvu/164

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(Sans nul danger) en voz Chambres, et Lictz.
Ou compterois de luy maint grand orage
De grand fortune, et son plus grand courage,
Qui soubz le faiz n’a esté veu ploier.
Voilà les poinctz, où vouldrois m’emploier,
Sans m’amuser à rimer voz Adieux :
Et faictes moy mines de groings, et d’yeux,
Tant que vouldrez : oncques ne print visée
Pour vous lascher ung seul traict de risée,
Et m’en croyez : mais les langues, qui sonnent