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Page:Marot - Les Œuvres, t. 3, éd. Guiffrey, 1881.djvu/172

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A la Royne Elienor nouuellement arriuée
d’Efpagne auec les deux enfants du Roy
deliurez des mains de l’Empereur
(De la Suyte)

Puis que les Champs, les Montz, et les Vallées,
Les fleuves doulx, et les Undes sallées
Te font honneur à la venue tienne,
Princesse illustre, et Royne treschrestienne,
Puis que Clerons, et Bombardes tonantes,