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Page:Marot - Les Œuvres, t. 3, éd. Guiffrey, 1881.djvu/176

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Ou tellement aux armes laboura,
Que le corps pris, l’honneur luy demoura.
N’est ce pas toy, qui sentis plus fort croistre
L’amour en toy, quand tu vins à congnoistre,