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Page:Marot - Les Œuvres, t. 3, éd. Guiffrey, 1881.djvu/178

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Et qui depuis en Prison si amere
A ses Enfans feis office de Mere,
Jusque à donner à ton cher Frere Auguste
Doubte de toy, voire doubte tresjuste ?
Car je croy bien, si eusses eu l’usage