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Page:Marot - Les Œuvres, t. 3, éd. Guiffrey, 1881.djvu/188

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Tu voys fleurir en honneur manifeste,
Cheriz du Roy, et du peuple honnorez,
Or à ces deux, que Mort a devorez,
Dieu doint repos : et aux troys, qui demeurent,
Que de cent ans (bien comptez) il ne meurent.


Pour Pierre Vuyart à Madame de Lorraine
(De la Suyte)

Je ne l’ay plus, liberalle Princesse,
Je ne l’ay plus, par mort il a prins cesse
Le bon Cheval, que j’eu de vostre grâce.
N’en scauroit’on recouvrer de la race ?
Certainement tandis que je l’avoye,