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Page:Marot - Les Œuvres, t. 3, éd. Guiffrey, 1881.djvu/192

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Au Roy
(De l’Adolescence)

On dit bien vray, la maulvaise Fortune
Ne vient jamais, qu’elle n’en apporte une,
Ou deux, ou trois avecques elle (Sire).
Vostre cueur noble en sçauroit bien que dire :
Et moy chetif, qui ne suis Roy, ne rien