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Page:Marot - Les Œuvres, t. 3, éd. Guiffrey, 1881.djvu/203

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Qui veult Cedulle, affin qui se contente :
Je la feray tant seure (si Dieu plaist)
Qu’il n’y perdra que l’Argent, et l’attente.


A vn qui calumnia l’epiftre précédente
(De l’Adolescence)

Le Rimeur, qui assailly m’a,
En mentant contre moy Rima,
Car je ne blasme point Gascoigne.
De toutes tailles bons Levriers,
Et de tous Arts maulvais Ouvriers,
Son Epistre assez le tesmoigne.
Il fault dire, puis qu’ainsi hoigne,
Que je luy ay gratté sa Roigne
En quelcque mot, qu’il trouva laid.
Pourquoy d’ailleurs vouldroit il guerre ?