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Page:Marot - Les Œuvres, t. 3, éd. Guiffrey, 1881.djvu/290

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Qu’apres avoir bien couru, et veillé
Par la Campaigne, et beaucoup travaillé,
Nostre retour vers Chasteaudun sera :
Là où mon œil se recompensera
De son plaisir perdu si longuement.
Mais en tandis je vous prie humblement,
Prendre la Plume, et faire en Prose, ou Metre
Quelcque response à ma grossiere Lettre.