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Page:Marot - Les Œuvres, t. 3, éd. Guiffrey, 1881.djvu/96

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Prenez le cas que je la vous demande,
Je prens le cas que vous me la donnez :
Et si Plaideurs furent onc estonnez,
Mieulx que ceulx cy, je veulx qu’on me delivre,
Et que soubdain en ma place on les livre.
Si vous supply (Sire) mander par Lettre,
Qu’en liberté voz gens me vueillent mettre :
Et si j’en sors, j’espere qu’à grand peine
M’y reverront, si on ne m’y rameine.
Treshumblement requerant vostre grâce,
De pardonner à ma trop grand audace
D’avoir empris ce sot Escript vous faire :