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Page:Marquis de Lassay, Maurice Lange - Lettres amoureuses et pensées diverses du marquis de Lassay, Sansot 1912.djvu/77

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cette ignorance où nous sommes me laisse l’espérance que peut-être nous nous retrouverons. Dieu aurait-il voulu séparer pour toujours deux personnes qu’il avait si parfaitement unies, et ne leur laisser qu’un moment le bonheur de vivre ensemble ? il serait acheté bien cher par les peines que je souffre.