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LES BAISERS PERDUS
Et cependant, ta mort fut digne, ô philosophe !
Je t’aime d’avoir fait rayonner cette strophe
A la fin des couplets moqueurs de ta chanson !
Et cependant, ta mort fut digne, ô philosophe !
Je t’aime d’avoir fait rayonner cette strophe
A la fin des couplets moqueurs de ta chanson !