P. 538, ligne 19. « vnc perfonne ; » « vng légat, » éd. Nolhac, p. 58.
P. 538, ligne 35. « bailler coignet en tefte audit Breton. » M. P. de Nolhac (p. 59) donne : « bailler Niquet en teste, » et remarque que Nicquet ou Nicayt est nommé dans les lettres de l’évcque de Paris.
P. 539, ligne 19. « Didier. » Il est nommé deux fois dans la page. Le texte de M. P. de Nolhac porte (pp. 61, 62) « Didato » dans les deux passages.
Page 540, ligne 29. « pour la diligence du promoteur. » Éd. Nolhac, p. 64 : « conuoyeur. »
A ces lettres adressées au Cardinal du Bellay par le poète, il convient d’en ajouter une autre, fort importante pour sa biographie, et dont on doit la découverte à Monsieur P. de Nolhac ; il ne Ta pas publiée dans son recueil ; elle a paru une dizaine d’années plus tard, sous ce titre : Une lettre inédite de Joaclnin Du Bellay, dans la Revue d’histoire littéraire de la France, année 1894, p. 49. Cette lettre est adressée à Eustache Du Bellay, évêque de Paris, neveu du cardinal. Ce n’est pas, comme les précédentes, un original, mais une copie, appartenant également à la Bibliothèque Nationale. (Moreaii, 774, ff. 292-293.)
Monsieur, l’ay ces iours palfez receu vne lettre de Monfieur du Bellay vollre frère, pleine de choleres ts : de nienall’es, aufquelles ie ne fais refponfe pour auoir iufques icy allez efprouué Monfieur du Bellay fi peu fauorable en tout ce qui me touche que ie n’ay occalion efperer de luy, finon toute rigueur, fi Dieu par voftre moyen ne luy fait changer de voulunté en mon endroit.
La fubftance des propoz que i’aj’tenu à Monfieur le feelleur eft telle, afin que l’on ne vous en puilîe rien defguifer pour vous aigrir dauantaige contre moy.
Le iour après votre partement de ce lieu, parlant audit feelleur de la maladie de Monfieur Gallandius & de fa prébende touchant Saueufe, & l’aduertllfant de prendre garde à la regale, de peur de tomber
