Page:Marx - Différence de la philosophie de la nature chez Démocrite et Épicure.djvu/213

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ESQUISSE D’UN NOUVEL AVANT-PROPOS


La dissertation que je livre au public <que je publie> est un travail ancien et ne devait <qui ne devait> trouver place que dans un exposé d’ensemble des philosophies épicurienne, stoïcienne et sceptique.

Mais cependant, des travaux politiques <mes occupations professionnelles> <mon activité professionnelle> aussi bien que philosophiques <des questions d’actualité> d’un intérêt plus immédiat <plus important m’empêchent provisoirement d’achever la présentation d’ensemble de ces philosophies <empêchent l’accomplissement de cet ouvrage plus important ; > comme j’ignore quand le hasard <l’occasion> me permettra de revenir à ce sujet <mener à bonne fin ce sujet, > je me contente…


Des occupations politiques et philosophiques d’un tout autre genre ne m’ont pas permis de penser à l’exécution de cet ouvrage.

<Je pense pourtant que même ce sujet>
La philosophie d’Epicure, des stoïciens et des sceptiques, la philosophie de la conscience de soi ont été négligées <ont> <peuvent seulement maintenant> par les philosophes qui se sont succédés jusqu’ici <les philosophes d’école> en tant que non spéculatives <ont été rejetées> tout autant que par les maîtres d’école <historiens> érudits <les historiographes de la philosophie> qui écrivent aussi des histoires de la philosophie comme <décadence> incroyablement vides.