et grand Charles Garnier aux manifestations de l’art lyrique et au culte de la danse.
Notre directeur, Gailhard, qui était venu me rendre visite au mois de mai, alors que j’étais si malade, m’avait fait promettre d’assister, dans sa loge, à la centième qu’il espérait bien donner et qui eut lieu, en effet, en octobre. À cette date je me rendis à son invitation.
Mlle Lucienne Bréval, MM. Saléza et Frédéric Delmas furent acclamés le soir de la centième du Cid, avec un enthousiasme délirant. Au rappel du troisième acte, Gailhard me poussa vigoureusement au-devant de sa loge, malgré ma résistance...
Vous devinez, mes chers enfants, ce qui se passa
sur la scène, dans le superbe orchestre de l’Opéra, et
dans la salle, bondée jusqu’au cintre.