nent des penseurs de l’Allemagne, mais le seul d’un rang assez élevé pour mériter dans ce pays, le titre de chef d’école. Il est placé sous tous les rapports à la tête de ceux qui cultivent les sciences morales dans sa patrie. Personne ne lui conteste cette honorable hégémonie ; et dans ce qu’on appelait autrefois la république des lettres germaniques, il jouit des honneurs suprêmes à côté de M. de Humboldt, qui tient le sceptre dans les sciences physiques et mathématiques. Toute la philosophie allemande est depuis quarante ans sous l’influence de M. de Schelling.
Quelle est sa philosophie ?
Et d’abord dans quels ouvrages est-elle exposée par son auteur ?
Ces ouvrages appartiennent à la philosophie, à la médecine, a la mythologie, à la poésie, à l’histoire, aux beaux-arts.