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pesanteur et de la lumière. Hambourg, 1806. — Des rapports de la philosophie de la nature avec la doctrine perfectionnée de Fichte. Tubingue, 1807.

Ici la rupture de Schelling avec Fichte est complète. Schelling y revendique le droit de propriété sur certaines idées de Fichte, qui cette fois-ci n’y fit pas attention (Fichte’s Leben, vol. 1, p. 434). Nous mentionnerons ici l’Anti-Sextus, ou de la connaissance absolue, Heidelberg, 1807 ; mais cet ouvrage n’est pas de Schelling, et ne lui fut attribué que par suite d’un titre équivoque. — OEuvres philosophique (Il ne parut de cette collection qu’un seul volume, qui contient avec d’anciens traités un travail nouveau et important sur la liberté humaine et les questions qui s’y rattachent. Ce dernier morceau est un des meilleurs de l’auteur, et M. Avizard a raison d’en faire une traduction française). — Denkmal, ou des écrits de Jacobi sur les choses divines et révélées, ainsi que sur l’accusation d’un athéisme qui aurait pour but de tromper et de mentir sciemment.