Page:Maturin - Bertram, trad. Taylor et Nodier, 1821.djvu/167

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t rapidement éloignés. Les bandits, chargés du butin du château, sont partis. Je les ai vus franchir les murs. Cependant je n’osois pas hasarder de sortir, tant que Bertram…..

Tous.

Continuez, continuez.

Clotilde.

Il apporta seul sa victime dans cette chambre-là. J’entendis traîner le corps pesant. J’entendis les sanglantes mains de l’assassin qui retiroient la porte sur ses gonds ; il n’est pas sorti depuis. Le cadavre et le meurtrier sont ensemble.

(Les Chevaliers tirent l’épée et s’élancent vers la porte.)
Le Prieur les arrêtant.

Attendez, attendez, chevaliers ! c’est à moi d’entreprendre cette guerre. Les armes de l’homme sont impuissantes maintenant. Écoutez