Page:Maturin - Bertram, trad. Taylor et Nodier, 1821.djvu/84

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être bon et généreux envers toi, jusqu’à ce que ton cœur, poignardé par sa noble tendresse, succombe au remords de ta perfidie ! puissent les sourires de ton enfant déchirer le sein d’une mère infortunée, qui ne peut pas aimer le père de son enfant ! et dans la splendeur de tes banquets somptueux, quand tes vassaux s’agenouillent devant toi, et que tes parens sourient de satisfaction autour de toi, puisse l’ombre de Bertram arriver et te rappeler tes sermens rompus, en criant : Salut et joie à l’orgueilleuse dame de Saint-Aldobrand ! tandis que ses ossemens froids et inanimés, blanchiront au pied des tours du château.

Imogène, le retenant.

Attends.

Bertram.

Non.