Page:Maupassant, Des vers, 1908.djvu/122

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


Puis, lorsque reparut la clarté de l’aurore,
Sous l’égout persistant des hauts feuillages verts
On ramassa, tout froids en leurs habits humides,
Deux petits corps sans vie, effrayants et rigides
Ainsi que les noyés qu’on trouve au fond des mers.