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Page:Maupassant - Au soleil, OC, Conard, 1908.djvu/201

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Mais les grands sommets montrent au-dessus des collines leurs pointes de granit rose ou gris ; l’odeur du maquis vient chaque soir, chassée par le vent des montagnes ; il y a là-bas des défilés, des torrents, des pics, plus beaux à voir que des crânes d’hommes politiques, et je pense tout à coup à un aimable prédicateur, le P. Didon, que je rencontrai l’an dernier dans la maison du pauvre Flaubert.

Si j’allais voir le P. Didon ?

La Patrie de Colomba a paru dans le Gaulois du 27 septembre 1880.