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le zar’ez
sur nos têtes formaient un épais, un impénétrable plafond. Des sortes de divans ou plutôt de trônes étaient aussi recouverts d’étoffes admirables ; et une cloison faite de tentures orientales, coupant la tente en deux moitiés égales, nous séparait de la partie habitée par les femmes dont nous distinguions par moments les voix murmurantes.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/6/6e/Maupassant_-_Au_soleil_-_Ollendorff%2C_1902_page_0169.jpg/450px-Maupassant_-_Au_soleil_-_Ollendorff%2C_1902_page_0169.jpg)
On s’assit. Les deux fils du caïd prirent place auprès de leur père, qui se levait lui-même de temps en temps, disait un mot dans l’appartement voisin par-dessus la séparation ; et une