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Page:Maupassant - Conte de la bécasse, 1906.djvu/224

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aux champs

— C’est-i té, m’n éfant ? C’est-i té, m’n éfant ? Il la prit dans ses bras et l’embrassa, en répétant :
— « Bonjour, maman.» Tandis que le vieux, tout tremblant, disait, de son ton calme qu’il ne perdait jamais : « Te v’là-t’i revenu,