Page:Maupassant - Contes du jour et de la nuit 1885.djvu/356

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— Mademoiselle Suzanne, votre sœur va mourir !

Alors Suzanne, ouvrant ses mains, montra sa figure trempée de larmes, et, se précipitant sur sa sœur, elle la baisa de toute sa force en balbutiant :

— Je te pardonne, je te pardonne, petite…