Page:Maupassant - Fort comme la mort.djvu/262

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— Je me sens mal, dit-elle, nous allons prendre un fiacre, mon enfant.

Annette, inquiète, demanda :

— Qu’est-ce que tu as, maman ?

— Ce n’est rien, tu sais que, depuis la mort de ta grand’mère, j’ai souvent de ces faiblesses-là !