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je me trompe, ils ne pourraient pas se déployer.
— Oh ! ma chère…
— Quant aux timides, ils sont quelquefois d’une sottise imprenable. Ce sont des hommes qui ne doivent pas savoir se déshabiller, même pour se coucher tout seuls, quand ils ont une glace dans leur chambre. Avec ceux-là, il faut être énergique, user du regard et de la poignée de main. C’est même quelquefois inutile. Ils ne savent jamais comment ni par où commencer. Quand on perd connaissance devant eux, comme dernier moyen… ils vous soignent… Et pour peu qu’on tarde à reprendre ses sens… ils vont chercher du secours.
Ceux que je préfère, moi, ce sont les amoureux des autres. Ceux-là, je les enlève d’assaut, à… à… à… à la baïonnette, ma chère !