Page:Maupassant - Le Rosier de Madame Husson.djvu/112

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Il vint se réfugier chez moi.

Vers trois heures de l’après-midi, on sonna. J’allai ouvrir. Une femme me sauta au visage, me bouscula, entra et pénétra dans mon atelier : c’était elle.

Il s’était levé en la voyant paraître.

Elle lui jeta aux pieds l’enveloppe contenant