Page:Maupassant - Mont-Oriol, éd. Conard, 1910.djvu/42

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Christiane affirma qu’elle irait ; et se pen chant au bras de son frère, elle murmura en l’entraînant vers l’hôtel :

— J’ai une faim de loup. Je serai très honteuse de manger tant que ça devant ton ami.