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Page:Maupassant - Mont-Oriol, Ollendorff, 1905.djvu/105

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mont-oriol


une symphonie champêtre, œuvre de Saint-Landri lui-même. Paul, qui accom­pagnait Chris­tiane, s’arrêta :

— Tiens, dit-il, c’est joli cela. Il a du talent, ce garçon. Avec un orchestre ça ferait un grand effet.

Puis il demanda :

— Aimez-vous la musique, madame ?