que si les sondages consécutifs donnent les résultats espérés.
Le père Oriol devint inquiet. Il ne comprenait pas.
Andermatt alors lui expliqua l’insuffisance d’une seule
source et lui
démontra qu’il ne
pourrait acheter
réellement que
s’il en trouvait
d’autres. Mais il
ne les pourrait
chercher, ces
autres sources,
qu’après la
signature d’une
promesse de
vente.
Les deux paysans parurent aussitôt convaincus que leurs champs contenaient autant de sources que de pieds de vignes. Il suffisait de creuser, on verrait, on verrait.
Andermatt dit simplement :
— Oui, on verra.
Mais le père Oriol trempa sa main dans l’eau et déclara :
— Fouchtra, elle est chaude à cuire un œuf, bien plus chaude que chelle à Bonnefille.
Latonne à son tour y mouilla son doigt et reconnut que c’était possible.