dans l’histoire une admirable réputation de roi chevaleresque, généreux, brave homme, loyal et probe.
Oh ! le fourbe, comme il savait jouer, celui-là, avec la bêtise humaine.
« Pends-toi, brave Crillon, nous avons vaincu sans toi ! »
Après une parole semblable un général est toujours prêt à se faire pendre ou tuer pour son maître.
Au moment de livrer la fameuse bataille d’Ivry : « Enfants, si les cornettes vous manquent, ralliez-vous à mon panache blanc ; vous le trouverez toujours au chemin de l’honneur et de la victoire ! »
Pouvait-il n’être pas toujours victorieux, celui qui savait parler ainsi à ses capitaines et à ses troupes.
Il veut Paris, le roi sceptique ; il le veut mais il faut choisir entre sa foi et la belle ville : « Baste ! murmura-t-il, Paris vaut bien une messe ! » Et il changea de religion comme il aurait changé