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LA PAIX DU MÉNAGE.
Madame de Sallus.
Cela suffit… Adieu !
Elle se lève et va vers la porte.
Jacques de Randol.
Je vous en supplie, écoutez-moi.
Madame de Sallus.
Non… non… non… Adieu !
Il la prend par les bras, elle se débat exaspérée.
Madame de Sallus.
Laissez-moi ! Laissez-moi ! Voulez-vous me laisser partir, ou j’appelle.
Jacques de Randol.
Appelez, mais écoutez-moi. Je ne veux pas que vous puissiez me reprocher un jour l’acte de démence que vous méditez. Je ne veux pas que vous me haïssiez ; que, liée à moi par cette fuite, vous portiez en vous le cuisant regret de ce que je vous aurai laissée faire…
Madame de Sallus.
Lâchez-moi… Vous me faites pitié… lâchez-moi !
Jacques de Randol.
Vous le voulez ? Eh bien ! partons.