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encore obscurci de nuages, et une fraîcheur tiède, savoureuse, délicieuse, une fraîcheur d’herbes et de feuilles mouillées entrait par la fenêtre ouverte.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/f3/Maupassant_-_Yvette_-_Ollendorff%2C_1902_page_0126.jpg/400px-Maupassant_-_Yvette_-_Ollendorff%2C_1902_page_0126.jpg)
Yvette se releva, ôta ses vêtements flasques et froids, sans songer même à ce qu’elle faisait, et se mit au lit. Puis elle demeura les yeux fixés sur le jour qui naissait. Puis elle pleura encore, puis elle songea.
Sa mère ! un amant ! quelle honte ! Mais elle