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Page:Maupertuis - Lettre sur le progrès des sciences, 1752.djvu/120

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Miroirs brûlans.

Avec nos bois, nos charbons, & toutes nos matières les plus combuſtibles, nous ne pouvons pouſſer les effets du feu que juſqu’à un certain degré, qui n’eſt que peu de choſe, ſi on le compare aux degrés de chaleur que la terre ſemble avoir éprouvés, ou à celui que quelques comètes éprouvent dans leur périhélie. Les feux les plus violens de nos chymiſtes ne ſont peut-être que de trop