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Page:Maupertuis - Lettre sur le progrès des sciences, 1752.djvu/46

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de la matière de ces aurores.

Je ne parle point ici de certaines difficultés attachées à cette navigation. Plus on approche du pole, plus les ſecours qu’offre la ſcience du pilote diminuent ; & au pole même, pluſieurs ceſſent tout à fait. On pourroit donc éviter ce point fatal : mais ſi l’on y étoit arrivé, il faudroit commencer ſa route en quelque ſorte au hazard, juſqu’à ce qu’on s’en fût